Parce que finalement, quoi qu’on en dise, quoi qu’on en pense, que le Chapitre sept ne soit qu’une émanation de ma pensée, une création de mon imagination, un chapitre perdu de mon livre mémoriel, de mon esprit malade, un chapitre perdu dans le roman de toute ma vie, un chapitre encore plus perdu que tous les autres chapitres de mon existence, un chapitre en détresse qu’il fallait sauver, que le Chapitre sept soit l’expression vicieuse d’une essence divine encore inconnue de  l’espèce humaine, ou que le Chapitre sept ne soit qu’une stratégie déstabilisatrice dûment mise en place par une organisation ténébreuse dont les ambitions m’échappaient encore, quoi qu’on en dise, quoi qu’on en pense, le Chapitre sept était le maître.